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patrick devedjian - Page 3

  • VANVES BIENTOT SOUS LA TUTELLE DE LA METROPOLE DU GRAND PARIS

     

    Les budgets 2014 de la Région Ile de France et du département des Hauts de Seine devraient être votés en fin de journée. Bernard Gauducheau (UDI) devrait voter contre alors que Marc Lipinski (EELV)  votera pour au Conseil Régional. Guy Janvier (PS) votera contre au Conseil Général qui n’y consacrera qu’une seule journée, alors qu’il aura fallu 3 jours pour la Région. Avec des répercussions sur Vanves : Equipement sportif du lycée Michelet, Rénovation du collège Saint Exupery, protections phoniques le long de la voie ferrée .

    Ces votes important interviennent à un moment où le SDRIF (Schéma Directeur de la Région Ile France) a reçu, mardi dernier,  le feu vert du Conseil d’Etat qui doit permettre au Premier Ministre de signer le décret et le publier au Journal Officiel. Vanves, tout comme GPSO,  est concerné au premier chef comme les 1271 autres communes franciliennes, car ce document s’impose à son PLU et son PLH, tout comme au PLH (Plan local de l’Habitat) et au CDT (Contrat de développement Territorial) de GPSO. Il organise une région à l’habitat dense, mieux irrigué par les transports en commun, garants d’un essor économique tout en préservant les terres agricoles. « C'est une sacrée étape qui nous permet maintenant de passer à la mise en oeuvre. Très concrètement, les communes et les intercommunalités vont avoir trois ans pour adapter les plans locaux d'urbanisme pour qu'ils soient compatibles avec ce document » expliquait on à la Région : « C'est un élément de stabilité pour l'ensemble des acteurs économiques, agricoles, les collectivités locales: tout le monde a maintenant un cadre qui n'est plus susceptible de bouger à long terme »

    Seul ombre au tableau : La loi sur la MGP (métropole du Grand Paris) a été adopté définitivement hier par le Parlement, au Sénat le matin et à l'Assemblée Nationale l'aprés-midi. Elle entrera en vigueur le 1er Janvier 2016. Certains élus craignent qu’elle dépossède la Région de certains secteurs d’interventions comme le logement, l’aménagement etc…« la Métropole du Grand Paris (MGP), c’est la mort programmée de la Région. Toutes les compétences de la Région sont données à la MGP (logement, développement économique, mobilité durable…) qui aura toutes les dotations. Et d’après-vous, à qui l’Etat  va les prendre. A la Région, en lui expliquant qu’elle peut supporter cette baisse considérable, Par contre, elle gardera la charge de la dette (5 à 6 milliards). Elle ne tiendra pas : Où elle disparaîtra, où elle sera tellement contrainte qu’il faudra trouver une solution institutionnelle » explique un spécialiste en la matière, le Sénateur UMP Roger Karoutchi 

    Il n’est pas le seul à le penser, car ceux qui suivent de près,  cette affaire de la Métropole du Grand Paris, et les élections municipales, n’ont pas manqué de remarquer plusieurs choses :  le silence du maire de Paris, Betrand Delanoë qui est pourtant à l’origine de cette ouverture de la ville de Paris à ses voisins, en ayant développé des relations suivies avec la banlieue grâce à des accords de coopération – que Vanves a signé avec Paris – la création de Paris Métropole porté sur les fonds baptismaux à Vanves. L’élimination de Pierre Mansat, adjoint au Maire de Paris qui a été le maitre d’œuvre de cette politique depuis 2011, des listes conduite par Anne Hidalgo. Et pour cause, beaucoup d’élus tant à droite qu’à gauche partagent l’idée que sont à  la manœuvre,  Anne Hidalgo pour prendre la main sur la mairie de Paris, et Jean Marie Le Guern pour prendre la  main sur la Métropole du Grand Paris.  Ainsi en sera fini de la politique d’ouverture de Paris qui se refermera sur elle-même comme avant 2001, du temps de « Chirac et Cie » qui considérait les villes riveraines et la Région comme des vassaux.

    Et tout cela avec, à la manœuvre « don Bartolone », surnom donné au Président de l’Assemblée Nationale et toujours patron du 93,  « avec l’aide du quarteron de députés socialistes mal inspirés et méconnaissant l’histoire et la géographie francilienne, qui ont imposés cette MGP, sans le véritable débat public qu’aurait mérité l’avenir des 12 millions d’habitants de la Région Capitale » comme le demandent nombre d’élus franciliens. Certains d’entre eux, à gauche (au FdeG/PC), leur reprochent « d’avoir outrepassé leur mandat, car ce n’était pas du tout prévu et inscrit dans leur programme », d’autres, plutôt à droite,  en veulent beaucoup à JP Huchon et à l’exécutif « qui portent la responsabilité de la disparition annoncé de la Région, de ce suicide organisé qui se déroule sans réactions » car « ils ne se sont pas battus pour la défendre ! » 

    Mais, il n’est pas certain que cette loi passe le filtre du Conseil constitutionnel sans dégâts pour leurs auteurs : « le Gouvernement a choisi de bouleverser l’organisation de la région parisienne par un simple amendement déposé par surprise – portant atteinte à la clarté et à la sincérité du débat parlementaire -  qui n’a rien à voir avec son  projet initial, déposé sur le bureau du Sénat en première lecture, portant sur un EPCI de droit commun : il le transforme en un tout autre projet, portant sur un EPCI  à fiscalité propre à statut particulier » dont «  le périmètre est défini par la loi et l’adhésion est obligatoire. Le prétendu EPCI absorbera les compétences, le patrimoine et les ressources des EPCI existants -  Il n’y aura donc absolument aucune coopération. En réalité, le projet du Gouvernement revient à créer une nouvelle collectivité à statut particulier qui  aurait la tutelle sur les communes, ce qui constituerait une violation flagrante de l’article 72, alinéa 5 de la Constitution » car  « aucune collectivité territoriale ne peut exercer une tutelle sur une autre ». Le Gouvernement et sa majorité nient les principes de décentralisation et de subsidiarité, protégés par la Constitution. Il résulte néanmoins de cette disposition que ce qui a été décentralisé ne peut pas être recentralisé » a expliqué Patrick Devedjian président du Conseil Général et fin juriste.

    « Le  Conseil constitutionnel aura à répondre à toutes ces questions qui n’ont manifestement jamais soucié le gouvernement » dont « le but n’est pas de régler des problèmes, il est vrai lancinants, d’organisation territoriale de notre pays et de la capitale de la France. Il est à l’évidence d’assurer la main mise d’une unique formation politique sur l’ensemble de la région parisienne, par une manipulation administrative à vocation électorale. Tout Paris bruisse encore du partage intervenu entre Mme Hidalgo et M. Le Guen, M. Huchon ayant décidé de se taire et le Gouvernement de laisser faire !» concluait il lors du débat à l’Assemblée Nationale.

  • MUNICIPALES DE MARS 2014 A VANVES : L’UNION UMP/UDI EST UN GAGE DE SUCCES

     

    « Il faut que l’on soit solide. Il n’y a pas eu un couac dans notre équipe. Nous avons eu des idées, des moyens en allant les chercher. Le plus difficile est de gérer cette collectivité constituée d’individualités. Mais nous aimons l’action car nous sommes tournée vers l’avenir. Nous avons envie de construire, de réaliser des choses. Et nous avons, en face de nous, des gens qui apparaissent  : Des écologistes qui ne sont jamais présents dans la ville, qui ne s’intéressent pas à vous. Un candidat PS qui est sûrement un brave type qui a travaillé pendant des années dans sa ville. Mais qu’est-ce qui l’empêchait de s’en occuper avant. Ces gens n’ont ni honte, ni honneur » a déclaré Bernard Gauducheau en lançant la campagne de la liste UDI/UMP qu’il méne au combat municipal en Mars prochain. « S’occuper d’une ville est quelque chose de difficile. Mais on a la passion des gens dont on s’occupe » a-t-il expliqué avec beaucoup d’émotion dans la voix en pensant à ces années d’actions et d’engagements pour cette ville, sans compter. « Ce n’est pas pour un 3éme mandat que je me présente. C’est parce que les vanvéens ont besoin d’espoir » a-t-il conclu, entourée par une bonne partie de l’équipe municipale et de vanvéens, UDI et UMP, qui constitueront la prochaine équipe, notamment quelques jeunes centristes et gaullistes, dans ce préau fêtiche de l’école élementaire Marceau.

     

    Ce lancement s’est déroulé juste avant le match de l’équipe de France contre l’Ukraine,  mardi soir – « Le match le plus important est celui qui se joue ici » n’a pas manqué de rappeler Bernard Gauducheau à ses invités de marque -  et a commencé par l’inauguration de la permanence UDI/UMP rue Jean Bleuzen.  Patrick Devedjian, Président du Conseil Général des Hauts de Seine, Valérie Pécresse président du groupe UMP au Conseil Régional,  André Santini, député,  Roger Karoutchi sénateur,   Hervé Marseille, sénateur maire de Meudon, Denis Laghero, conseiller général,  Laurent Lafon président du groupe UDI au Conseil régional étaient présent pour couper symboliquemet un ruban bleu et fushia aux couleurs de l’UMP et de l’UDI. Mais très vite tout le monde s’est retrouvé dans le préau pour les discours qui ont été très cours, et ont célébré finalement l’union : « On est venu pour rémoigner vis-à-vis de Bernard et d’Isabelle qui sont un symbole d’union. Si on a pu gagner cette ville, c’est parce qu’ils sont uni et travaillent ensemble. Il est important qu’il y ait cette union pour tous les scrutins. D’autant plus que les socialistes vont charcuter le département pour arriver à quelque chose » (Hervé Marseille UDI). « L’unité a été et elle est la garantie de succés. Vanves n’est pas une ville facile où il faut se battre. L’équipe en  place doit garder cette ville. C’est un accord gagnant/gagnant exemplaire » (Roger Karoutchi UMP).

     

    Isabelle Debré et Bernard Gauducheau l’ont d’ailleurs bien montré dans leur présentation respective de l’un et de l’autre avant qu’ils ne prennent la parole : « Depuis 1995, on est ensemble. On méne avec l’UMP et l’UDI, le combat politique à Vanves. C’est un gage de succés ! » a déclaré le Maire. « Il travaille, il aime sa ville. C’est un homme d’expérience. On a un très bon bilan et on aura un très bon progtramme » a ajouté la Sénateur. « Le travail fait ici d’urbanisme et d’aménagement est très fin. Bernard Gaducheau a changé doucement sa ville. Votre unité à deux est riche et prometteuse » a ajouté Patrick Devedjian. « Vous avez beaucoup travaillé avec GPSO, avec le Conseil Général. Vanves s’est ainsi métamorphosé. Vous méritez de gagner » a ajouté André Santini considéré par Valérie Pécresse, comme « le pére protecteur de Vanves » -  « Vous avez un bon maire. Il faut le garder, le protéger, le faire gagner, le faire grandir ! »  

     

    Ses leaders politiques ont bien sûr commenté l’actualité : Hervé Marseille a parlé d’un « gouvernement qui fait des choses épouvantables » en prenant l’exemple de la Métropole du Grand Paris (MPG) : « Le gouvernement veut nous mettre sous la tutelle de Paris et tout donner à la Seine Saint Denis ». Le président du Conseil Général des Hauts de Seine a expliqué que « l’on est dans une situation insupportable. Ces élections sont l’occasion de dire « cela suffit » au gouvernement. On en a assez d’être, dans les Hauts de Seine, le point de frustration socialiste, car nous avons des villes bien gérées et prospéres qui se développent » contrairement à la Seine Saint Denis en rappelant que ces deux départements, lors de leurs créations, étaient pratiquement dans les conditions (socio économiques) semblables. « Le projet de la MGP est celui du 9.3. Bartolone est à la manœuvre. Et le verrou aujourd’hui, c’est le maire, perméable à vos soucis. Ce qui ne sera plus le cas avec la MGP ».  Pour Valérie Pécresse, « une certaine désillusion se fait sentir dans les communes, une énorme insatifaction chez les francliens et même des tensions  car ce gouvernement dresse les français les uns contre les autres ». Elle consiére que « la longue marche de l’alternance commence par les municipales, puis les européenes et les sénatoriales, puis les cantonales et les régionales. Il faut se mettre en orde de bataille car la reconquête des territoires est primordial ». 

  • LORSQUE GUY JANVIER (PS) SE VOIT DEJA MAIRE DE VANVES…MAIS PAS SES CAMARADES SOCIALISTES

    Un incident lors du Conseil Général des Hauts de Seine de Vendredi, rapporté par le Parisien est très révélateur des arrières pensées municipales à plus d’un an des élections  municipales de Guy Janvier (PS), conseiler général de Vanves :  « Vous êtes le baron de la principauté des Hauts de Seine. On vous imagine descendre la Seine sur vote bâteau présentant là,  la Cité de la Musique, ici le Musée Albert Kahn…Alors qu’on vous demande de nettoyer les écuries d’Aujias » a-t-il conclu en faisant référence à la condamnation de Charles Pasqua – qu’il exécre – et André Santini – qu’il déteste – à la suite de l’affaire Hamon.  « Je croyais que la gauche préférait le débat d’idées aux attaques personnelles. Faible sur le plan politique, détestable sur le plan humain. Pour être maire, il faut aimer les gens » répliqua Patrick Devedjian, président de l'assemblée départementale alors  que Guy Janvier l’avait titillé dés le début de son intervention en lui demandant « J’aurais aimé que vous m’appeliez monsieur Le futur maire de Vanves »  (comme il l’a fait à propos de Patrice Leclerc qui devrait succéder à Gennevilliers à Jacques Bourgoin). « C’est moins évident pour vous ! » a répondu Patrick Devedjian.

     

    Et il n’est pas loin d’avoir raison. Car si Guy Janvier donne l’impression depuis la nouvelle année de vouloir repartir en tête de liste  pour une troisiéme campagne municipale contre Bernard Gauducheau, c’est moins le cas pour ses camarades socialistes qui pensent que « ce serait le combat de trop ! ».  Ils ne sont pas les seuls à Vanves. Tout d’abord, il devra se présenter aux suffrages des socialistes vanvéens car ce sont eux qui désignent celui qui défendra les couleurs du PS aux municipales de Mars 2014. Ensuite il devra lever la réticence qu’une grande majorité de ses militants socialistes qui ne sont pas du tout prêt à repartir avec lui, d’autant plus après ce qui s’est passé lors du renouvellement des instances socialistes altoséquanaises avec l’élection du 1er secrétaire fédéral. Il a fait campagne pour Philippe Sarre qui l’a emporté, alors qu’une grande majorité des animateurs de la section PS soutenait Jean André Lasserre qui a été le directeur de la campagne présidentielle de François Hollande  dans les Hauts de Seine. Et pour s’assurer de son élection, il a fait voter pour le Maire de colombes en restant présent au bureau de vote pensant tout le scrutin, ce qu’il ne fait jamais habituellement.  « Une attitude politicienne détestable  » ralaient les « hollandais » vanvéens qui s’en sont expliqués avec lui le soir même du scrutin dans la permanence.

     

    Et la bataille n’est pas terminée. Pour les vœux, tous les vanvéens ont constaté que  Guy Janvier (PS),  a envoyé sa  (propre) carte de vœux avec quelques réflexions: « trois ou quatre choses que j’aimerais vous écrire en ce début d’année 2013 ». Pour lui, le problème numéro 1 c’est l’emploi : « la mobilisation doit être générale » a dit, avec raison, le président de la République. C’est d’abord, une affaire d’entrepreneurs, mais elle concerne tout le monde. Chacun, à son niveau, peut apporter sa pierrre. C’est notamment le cas des collectivités locales.  Dans notre département, les Hauts de Seine, et dans chacune de nos communes, pourquoi ne pas fixer un objectif ambitieux de création d’emplois d’avenir à destination de jeunes éloignés du marché du travail ? ». Il revient sur ses services sociaux de proximité délaissés par le Conseil Général et qui sont pourtant de sa responsabilité : « Il manque des travailleurs sociaux dans lescirconscriptions de la vie sociale (CVS), dans les centres de PMI (Protection Naternelle et Infantile), dans les services de l’aide sociale à l’enfance. Or, ces personnes ménent des actions de préventions et accompagnent les allocataires de minma sociaux dans leur recherche de travail, de logement, de garde d’enfants… ».  

     

    Ensuite il aborde la question d’un logement digne pour tous : « A Vanves, nous avons un peu plus de 23% de logements sociaux, mais cela ne suffit pas à satisfaire une demande de plus en plus forte, compte tenu à la fis des prix très élevé dans le secteur privé et de la décohabitation (jeunes voulant quitter le fiyer parental, divorces…). Il y a moins d’une soixantaine d’attributions par an pour un peu moins de 1000 demandes. Et Vanves n’est pas un cas particulier ». Et de préconiser que les nouvelles attributions de logements soient l’objet de baux de 3, 6, et 9 ans avec à la fin de chaque période la possibilité pour les locataires qui le peuvent de racheter leur appartement. Il termine sdes vœux sur l’école de la réussite pour chacun en remettant l’éducation et la jeunese au cœur de l’action publique, un des grands chantiers de François Hollande qui tient à cœur à Guy Janvier depuis très longtemps et qui est l’un des raisons de son engagement politique.

     

    De leur côté, les « Hollandais » de Vanves ont sorti « Le 82 », journal des socialistes de Vanves, sous un nouveau format,  où Guy Janvier n’est même pas cité (sauf pour sa permance) et ne s’exprime même pas par un éditorial ou une tribune. Par contre Antonio dos Santos, secrétaire de la Section PS de Vanves signe l’éditorial  - « pendant toute cette année, nous resterons à votre écoute, disponible pour entendre vos préoccupations  ou porter vos suggestions, pour  toujours mieux vivre ensemble à Vanves » - Anne-Laure Mondon, présidente du groupe PS signe la rubrique « le coin des élus » consacré à la CPAM de Vanves, Jean-Cyril Le Goff signe bien sûr la rubrique GPSO  «  une aubaine pour Vanves » , les élus municipaux et le Conseil Général un autre sur  le « maintien  des services sociaux à Vanves », et Gabriel Attal, chargé des relations avec les élus et et le parment de la ministre Marisol Touraine,  revient sur les « travaux à l’Assemblée (Nationale).

     

    Enfin, ils reçoivent Bruno Roux, président du groupe PS à l’Assemblée Nationale pour les vœux du PS de Vanves demain à 20H15 à l’école Maternelle Max Fourestier. Un fidéle d’entre les fidéles de François Hollande où il devrait être beaucoup questions de cumul des mandats, d’autant plus si son collégue du Sénat François Rebsamen  rue dans les brancards en demandant un statut à part sur le non-cumul, le patron des députés PS s’inquiéte, car quelques députés pourraient être menacé d’abandonner leur mandat, ce qui provoquerait des élections législatives partielles. Après celle de la 13éme circonscription des Hauts de Seine où Patrick Devedjian a été ré-élu haut la main en pleine bagarre interne à l’UMP, les députés socialistes n’ont pas envie de jouer avec le feu. D’autant plus qu’entre 40 et 60 d’entre eux seraient concernés. De quoi leur faire perdre la majorité à l’Assemblée Nationale.